LES BUNKERS

[WealthBar] Ce que nous avons appris de nos 1 000 premiers clients.

Si tu fais partie du 5 % de la population qui sait gĂ©rer son argent comme il faut (fĂ©licitations!) alors peut-ĂȘtre que tu n’aimes pas avoir Ă  payer pour les conseils d’un conseiller financier.

“Payer? Mais de quoi tu parles?”

Lorsque tu passes par des conseillers financiers (comme ceux de la Caisse Desjardins, du Groupe Investors ou de n’importe quelle banque), tu payes en moyenne de 2 à 3 % de “frais de gestion” sur ton portfolio.

Ces frais sont complĂštement justifiables si tu ne t’y connais pas en finances personnelles (clique ici pour apprendre les bases) puisque les trucs de ton conseiller vont te faire sauver beaucoup plus que ce qu’il te coĂ»te.

Mais si tu crois savoir ce que tu fais et que les services de conseillers te semblent superflus, alors il est temps que tu dĂ©couvres les “robo-advisors”.

Comme le nom le dit, il s’agit d’une plateforme en ligne qui remplace les services offerts par un conseiller financier. Comme ça, tu peux toi-mĂȘme gĂ©rer tes CELI, REER ou autres.

Leurs frais sont presque 3 fois plus bas que ceux des fonds de placement traditionnels, ce qui peut représenter un impact TRÈS important à long terme.

Bref!

Aujourd’hui, j’aimerais te prĂ©senter un article de blogue qui a Ă©tĂ© Ă©crit par Tea Nicola, CEO chez WealthBar (une des compagnies offrant ce service).

Dans cet article, Tea nous partage les stratĂ©gies qu’elle a employĂ©es pour faire croĂźtre son entreprise.

Je tiens Ă  mentionner que j’utilise personnellement leur plateforme depuis plus d’un an et que je suis trĂšs satisfait. Je ne suis aucunement affiliĂ© Ă  cette entreprise.

Si tu veux comparer les robo-advisors, j’ai trouvĂ© un calculateur qui fonctionne bien ici: https://autoinvest.ca/calculator/. Sois averti, tous les liens du calculateur sont des liens d’affiliation.

VoilĂ ! Bonne lecture :)

Parlez avec vos clients. C'est un mantra pour la réussite commerciale. Mais si vous voulez passer au niveau suivant, vous devez aller au-delà de leur parler; vous devez les informer!

C’est de cette façon que nous avons Ă©tĂ© capables de gagner la confiance de nos 1 000 premiers clients. Ça n’aura pas Ă©tĂ© facile
 Il a fallu un peu moins de 2 ans pour y arriver, avec une croissance de 6 % mois aprĂšs mois.

Comment l’avons-nous fait? Beaucoup de notre rĂ©ussite provenait des webinaires, de repas-confĂ©rences et d'infographies. Il existe de nombreuses façons d'aider Ă  renforcer votre rĂ©putation chez vos clients afin qu'ils se sentent assez confiants pour cliquer sur «oui» en ce qui concerne votre entreprise.

WealthBar, c’est quoi?

Notre mission est de donner à tous les Canadiens accÚs à de meilleures opportunités d'investissement.

Mais pourquoi investir avec nous? Pourquoi ne pas aller avec les grandes banques ou d'autres institutions d'investissement traditionnelles?

Nous devions montrer que nous connaissions notre affaire. MĂȘme avant d'avoir nos propres bureaux, on a commencĂ© Ă  organiser des sessions de repas-confĂ©rence qu’on hĂ©bergeait Ă  l'espace d'accĂ©lĂ©ration de la Launch Academy au centre-ville de Vancouver.

On offrait des confĂ©rences et ateliers sur la planification financiĂšre, les bases de l'investissement, etc. Pour avoir nos participants, on s’est affichĂ© sur des babillards de compagnies. Sachant que notre groupe initial de clients Ă©tait susceptible d'ĂȘtre des early adopters, nous avons ciblĂ© les espaces de travail des entreprises technologiques en Colombie-Britannique, au QuĂ©bec, en Ontario et ailleurs. Le nombre de participants n'Ă©tait pas Ă©norme, mais ils Ă©taient impliquĂ©s.

Nous avons transformĂ© le concept en souper “Wine & Wealth”. À la place d’une confĂ©rence, on organisait l'Ă©vĂ©nement dans des restaurants Ă  la mode en visant un public d'investissement plus sophistiquĂ© qui souhaitait l’opinion d'un expert sur les marchĂ©s. En envoyant des invitations via Picatic et notre infolettre, on Ă©tait capable de remplir une piĂšce de 100 personnes quelques jours aprĂšs l'avoir annoncĂ©.

À chaque Ă©vĂ©nement, nous avons rĂ©ussi Ă  obtenir des inscriptions — et mĂȘme mieux, des comptes financĂ©s! Lors de l’ouverture des comptes, on reconnaissait souvent le nom des gens, car ils Ă©taient venus nous parler lors de nos prĂ©sentations. MĂȘme si notre service est complĂštement en ligne, notre succĂšs a pris naissance dans le monde rĂ©el. Et ce n'Ă©tait que le dĂ©but!

Webinaires, infographiques et plus encore!

Comme presque toutes les autres entreprises aujourd'hui, nous avons investi dans la publicité en ligne. Mais ce sont nos efforts d'éducation qui ont mis notre marque à part.

Nous avons commencĂ© par essayer les webinaires. Lors de la prĂ©sentation, il n’y avait pas beaucoup de participants. Mais en ajoutant les vidĂ©os sur YouTube, on a vu de belles retombĂ©es Ă  long terme! Par exemple, nous avons eu des milliers de vues sur notre vidĂ©o “Get The Most Out Of Your Money”. Bien sĂ»r, on ne parle pas de millions de visionnements. La vidĂ©o n’est pas devenue virale. Compte tenu de notre crĂ©neau, ça n'a pas Ă  l'ĂȘtre! On a eu un bon retour de la part de nos clients et ça a trĂšs certainement aidĂ© Ă  renforcer notre crĂ©dibilitĂ©.

On a continuĂ© de publier du contenu Ă©ducatif Ă  travers notre blogue et notre infolettre. On s’est rendu compte que les infographiques Ă©taient particuliĂšrement efficaces. Par exemple, notre «The Journey of 1000$», qui compare le CELI et le REER, obtient des centaines de vues tous les jours, plus d'un an aprĂšs avoir Ă©tĂ© publiĂ©!

Ensuite, nous avons essayĂ© un infographique Ă  thĂšme de Star Wars, que nous pensions pouvoir devenir viral au moment oĂč le dernier film Ă©pique est sorti, intitulĂ© “Et si les Chevaliers Jedi et les Chasseurs de primes devenaient des conseillers financiers?” Ça n'a pas vraiment marchĂ©. Notre leçon: prĂ©sentez des informations utiles d'une maniĂšre crĂ©ative et directe sans essayer de l'attacher Ă  la saveur du mois.

La crédibilité ne suffit pas, il faut une relation!

Lorsque vous publiez des informations utiles chaque semaine, votre crĂ©dibilitĂ© augmentera. À un certain moment, vous devez fermer la boucle afin que la personne intriguĂ©e devienne un client — et reste avec vous.

Nous parlons à nos clients. Ce n'est pas seulement le courrier électronique ou le clavardage automatisé. Cette approche personnelle est difficile, mais nécessaire.

Pendant longtemps, on contactait chaque nouveau client pour planifier une rencontre individuelle directement avec moi!

Nous aurions pu embaucher une personne expérimentée en soutien à la clientÚle pour agir comme intermédiaire, mais ça n'aurait pas fonctionné aussi bien. Le taux de conversion d'un client potentiel qui vient de nous trouver à travers notre site Web, une publicité ou une référence oscille autour de 20 %. Mais s'ils me parlaient, c'était 50 %!

C'est pourquoi nous le faisons toujours. À chaque inscription, on contacte le client pour lui faire savoir qu'il peut rĂ©server un appel avec moi. Maintenant que l’équipe est plus grosse, ils ont l'option de parler directement avec un de nos conseillers financiers, mais je passe encore au moins 30 minutes Ă  une heure par semaine sur ce type d'appels!

C’est assez facile Ă  mettre en place. On utilise Calendly, ce qui permet aux clients de rĂ©server une heure instantanĂ©ment sans un tas d'emails ou d'appels tĂ©lĂ©phoniques de chaque cĂŽtĂ©.

Ça prend du temps, mais informer et parler Ă  vos clients en vaut vraiment la peine. Votre coĂ»t d'acquisition variera en fonction de votre entreprise, mais dans notre cas, la valeur vie d'un client est 4 fois supĂ©rieure au coĂ»t d’acquisition!

Alors voilĂ  comment nous avons acquis nos 1 000 premiers clients! Nous continuons d’utiliser ces stratĂ©gies et, en 2017, nous sommes fiers de pouvoir dire que nous avons dĂ©passĂ© les 100 millions d’actifs sous gestion!

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