Michel Pelletier

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Par je ne sais quel miracle, Je suis un nouvel arrivant parmi les privilégiés de l’âge d’or. Depuis ma retraite, il y a dix ans, j’écris beaucoup par plaisir. C’est devenu un passe-temps productif. J’ai trois essais à mon actif dont un traduit en anglais. J’ai également une fiction en quatre volumes qui sera bientôt complétée en deux langues.
J’ai publié avec trois maisons d’édition sur Internet sans obtenir les résultats escomptés. La plupart vous construisent des châteaux en Espagne. Ils promettent et ils ne font pas. Malgré les «proofread», ils ne respectent pas vos critères de formatages des manuscrits. Cela semble trop exigeant de demander des marges plus étroites pour les sections de discussion entre les personnages et de séparer ces dialogues d’une section narrative par un interligne. Je dois donc me retaper tout le boulot… quelques milliers de pages.
J’ai donc décidé de prendre les choses en mains et de construire mon propre site Internet afin de publier exclusivement mes livres en format numérique seulement et selon mes propres critères. En cours de construction, j’ai eu l’idée d’attirer de nouveaux auteurs à se joindre à moi. Je leurs propose une plateforme de représentation supplémentaire à faible déboursé initial pour la gérance de leur dossier renouvelable aux cinq ans. Je leur verserais toutes leurs redevances moins 5% de frais de gestion et les frais de transaction exigés par Paypal et Stripe. C’est déjà plus que Amazon et les autres grossistes qui empochent environ 35 à 45 % des recettes.
J’escompte terminer mon site dans un délais de trois semaines. Ma principale difficulté est de comprendre le jargon de programation afin d’intégrer les gestionnaires de gestion Paypal et Stripe à la boutique de mon site.
Une autre difficulté est de maintenir une page Facebook. Lors d’une première session, j’ai pu construire la page mais je ne peux pas la récupérer. Le système exige que j’inscrive un numéro de téléphone cellulaire et je ne peux me sortir de cet engrenage. Je n’ai pas d’appareil cellulaire et je n’en veux pas. Que faire ? À suivre peut-être lors d’une prochaine publication.