LES BUNKERS

La création de contenu: problème, opportunité ou obligation?

En affaires, un problème n'est que l'ombre d'une opportunité.

Alors que c'est une excellente nouvelle pour l'entrepreneur affamé, ça en est une qui exaspère l'entrepreneur bien repu qui aimerait profiter d'une sieste bien méritée.

Cet entrepreneur sait qu'une opportunité, par définition, ça ne dure pas.

Et qu'arrive-t-il aux opportunités lorsqu'elles disparaissent?

Elles se transforment en obligations.

En 2012, avoir une page Facebook ou un site web était une opportunité incroyable. Aujourd'hui? Ce n'est qu'une autre maudite tâche dans la to do infinie de l'entrepreneur moderne.

Ce cycle sans fin terraforme le paysage technologique à vue d'œil et oblige les entrepreneurs à choisir quelle opportunité saisir et quelle opportunité ignorer.

Essaie de toutes les saisir et cours le risque de voir tes opérations s'effondrer.

N'en saisis aucune et soit en première loge pour observer le marché t'éclipser et poursuivre son accélération sans toi.

Ne te fais pas d'idées, le marché n'aura aucun scrupule à te laisser là: couvert de poussière, inutile, et (fort probablement) très mort.

Ton épitaphe, humblement située près de celle de Kodak et BlackBerry, annoncera: "A fini par prendre une sieste."

Il n'est pas (encore) trop tard…

23 octobre 2013, Gary Vaynerchuck annonce: "Every company is now a media company".

7 ans plus tard, le temps finit par lui donner raison. Créer du contenu n'est plus une opportunité, c'est une obligation.

Le consommateur est assoiffé. Il salive devant l'histoire du produit, de l'entreprise, de ses clients, et surtout, devant celle de l'entrepreneur qui se cache timidement dans les coulisses.

MAIS,

si raconter ton histoire est devenu obligatoire, le choix du médium ne l'est pas.

Tout entrepreneur possède des préférences, compétences et moyens uniques.

Alors que certains vont vouloir offrir des conférences, d'autres vont préférer rédiger des articles de blogue, discuter sur un podcast ou encore sortir leur caméra.

Ceci étant dit, il faut tout de même être conscient d'une chose: plus le média est accessible, plus il est compétitif.

Cherche "Comment augmenter ses ventes" et Google va te retourner 84 MILLIONS de résultats.

Filtre uniquement les vidéos et ça tombe à 339 000 résultats.

Je suis d'accord avec toi... Ça reste énorme!

Par contre, 250 fois moins de contenu veut également dire 250 fois plus facile de se démarquer dans l'algorithme.

Et tout ça, c'est sans compter que la GRANDE majorité de ces vidéos sont faites par des dudes monotones qui lisent un PowerPoint ou qui parlent devant leur webcam avec leur lit comme décor.

Si tu sais ce que tu fais, tu n'es pas en compétition avec 339 000 autres vidéos, mais bien une centaine tout au plus!

Il existe donc une énorme opportunité pour les entrepreneurs qui n'ont pas froid aux yeux et sont prêts à investir le temps, les ressources et l'énergie nécessaires pour partager leur histoire de la meilleure façon possible — la vidéo.

Il n'est pas encore trop tard pour saisir l'opportunité, mais il faut faire vite... Le dernier train quitte la station.

Don't eat the frog!

Ça coûte cher, ça prend du temps, c'est compliqué.

Comme on dit: no money, no candy; on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre; pas de bras, pas de chocolat.

Et si je te disais qu'il existe une façon de créer du contenu vidéo cinématique de très haute qualité en quelques instants, à peu de frais, et sans avoir à apprendre quoi que ce soit?

Right... Attends avant de me traiter de fou. Fais-moi confiance, tu ne le regretteras pas!

En 2015, j'ai commencé à produire des vidéos pour mon entreprise et je dois t'avouer une chose: ça aura été un des processus les plus pénibles de ma carrière.

Non seulement faire mes vidéos était extrêmement long et désagréable, mais le résultat n'était pas là — j'avais honte de les publier.

Bien franchement, je n'avais pas de plaisir à me filmer et je ne peux compter le nombre de journées où j'aurais voulu tout abandonner.

Malheureusement, ce n'était pas une option — j'avais quitté mon emploi et je m'étais engagé face à des clients à livrer une formation.

Chaque matin était un combat contre la procrastination. Quand on est obsédé de productivité comme moi, se sentir aussi inutile et incompétent est absolument terrible pour le moral.

Faire des vidéos, c'est censé être le fun! Ça n'allait pas, je devais trouver un système ou une formule pour me simplifier la vie.

La première chose que j'ai essayée a été d'engager une agence pour s'occuper de mon montage. La facture? Plus de 3 500 $ pour une poignée de vidéos. Le résultat n'était même pas là.

Plus triste et un peu plus pauvre, je me suis mis à parler aux monteurs, cinéastes et propriétaires d'agences vidéo pour trouver une solution.

Si tu as besoin d'UNE vidéo, que tu as plus de 10 000 $ en budget, l'offre est là.

Si tu as besoin de produire une télésérie ou un documentaire et que tu as beaucoup de sous, l'offre est là.

Si tu as besoin de créer du contenu qui représente bien ton entreprise de façon mensuelle et que tu n'as que quelques centaines de dollars à investir chaque mois... Crickets. PERSONNE ne veut t'aider.

Et avec raison!

Jusqu'à aujourd'hui, il n'existait pas de système pour répondre à ce besoin de façon profitable.

No hard feelings, business is business.

À court d'options et à court de temps — je me suis pincé le nez et j'ai mangé le crapaud*.*

Il n'y a pas d'autre façon de le dire, c'était absolument sordide. Je peux encore sentir ses petites cuisses bien lubrifiées se débattre maladroitement entre mes molaires. 🤢

Aussi pénible que ça puisse sembler, je suis content de l'avoir fait.

5 ans plus tard, j'ai enfin ma solution: un système qui permet à n'importe qui de rapidement produire des vidéos qui impressionnent sans avoir à apprendre quoi que ce soit.

Encore mieux, c'est même amusant!

Créer des vidéos de qualité peut être simple comme bonjour... Voici la preuve!

C'est lundi, j'ai besoin d'aller enregistrer une vidéo pour mon entreprise. Je gare ma voiture devant mon studio. C'est une petite bâtisse sans prétention située à Trois-Rivières.

À peine sorti de mon véhicule, je me fais accueillir par un petit Bip bip familier. Le système de sécurité reconnaît mon téléphone et m'ouvre la porte.

J'accroche mon manteau, j'enlève mes bottes et je me dirige vers un de mes 3 plateaux de tournage.

J'en ai un que tout le monde connaît, celui que j'utilise pour enregistrer mes entrevues, un autre qui permet à 4 personnes de discuter autour d'une table et un dernier conçu pour présenter des produits et enregistrer des formations.

Je me dirige vers le dernier et j'ouvre la porte — la pièce est complètement noire.

À la place de l'interrupteur, un bouton blanc et caoutchouté contrôle les prises électriques de la pièce.

J'appuie une fois, le plateau s'illumine. En tout, 6 lumières spécialement faites pour rendre toute personne aussi belle que physiquement possible sont positionnées autour d'un "standing desk".

Une seconde plus tard, on entend "clic". C'est le son des caméras qui viennent de s'allumer.

Je me vois maintenant à travers un moniteur situé devant ma caméra principale à l'aide d'un miroir semi-réfléchissant.

À l'extrémité du bureau, un bras articulé supporte un écran tactile. On peut y voir 3 angles de caméra différents. En face de moi, la caméra principale est située derrière le téléprompteur. À ma gauche, une caméra sur un slider motorisé automatique m'offre un plan alternatif pour rendre le contenu plus dynamique. Au-dessus de moi, une caméra pointe la table de façon perpendiculaire, me permettant ainsi de gribouiller mes graphiques.

À mes pieds, 3 pédales me permettent de contrôler mes plans de caméras.

Je regarde rapidement. Tout m'a l'air beau, je suis prêt à filmer.

J'appuie sur l'écran pour lancer l'enregistrement.

Les fichiers s'enregistrent directement sur l'ordinateur et tous les plans sont synchronisés. Pas besoin de carte SD, pas de limite d'enregistrement.

Le logiciel me donne 4 fichiers: un par angle de caméra et un pour la sélection de plans que j'ai fait en filmant.

8 fois sur 10, je suis capable de m'en tirer sans faire de montage, c'est magique!

Lorsque j'ai terminé, j'appuie à nouveau sur le petit bouton et tout se ferme.

Viva la tecnología!

La dernière chose qui m'enrage!

Plus tôt, j'ai mentionné qu'il n'existait aucune solution abordable pour la PME qui désire créer du contenu de qualité sur une base régulière.

Malheureusement, ma solution n'a pas plus de sens. Équiper cette pièce m'a coûté un peu plus de 50 000$... et j'en ai 3 comme ça!

Si on compare à un plateau de télé, c'est une vraie farce! Mais pour quelqu'un qui s'en sert tout au plus 1 fois par semaine? C'est déraisonnable.

Pour justifier l'investissement, il faudrait que cette salle soit utilisée quotidiennement. Ceci dit, mis à part les stations télé, QUI a besoin d'un studio à chaque jour? Après tout, il faut tout de même planifier, éditer et publier.

Si seulement il existait une solution...

La solution qui ne solutionne rien!

Typiquement, les vidéastes louent studio et équipement séparément. Pour une journée, ce n'est pas rare de voir la facture monter à plusieurs milliers de dollars.

Par exemple, la Blackmagic Pocket Cinema 4K se loue à 170$ par jour et il faut ajouter au moins 35$ pour une lentille. Il faut prévoir un enregistreur (28$) pour le son ainsi qu'un micro (40$). Ajoute kit d'éclairage de base (260$), fond (40$) et trépied (20$) et on en est déjà à 593$.

Tout ça, ce n'est que le strict minimum... on n'a pas encore le studio!

Et il faut aller chercher, monter, tester, démonter et reporter l'équipement. Sans compter qu'il faut savoir exactement ce qu'on fait!

Bref, it's a pain in the ass.

L'économie de partage à la rescousse!

En ayant un studio fixe et sans tracas, on est capable de créer un modèle d'affaires BEAUCOUP plus abordable qui répond parfaitement aux besoins de la PME moderne.

Comme tu as pu voir, la technologie nous permet désormais de créer des plateaux de tournage complètement automatisés qui ne nécessitent aucun bagage technique. Si tu sais opérer un cellulaire, tu sais comment opérer ce genre de studio!

Pour toutes ces raisons, je suis persuadé que l'avenir de la création de contenu passe par le partage d'installations simples et automatisées, ce qui va offrir un avantage important aux quelques entreprises qui vont se réveiller et en profiter.

Il faut dire que je ne suis pas le seul à croire ça. Pour 1$ la minute, le Staples de Boston offre maintenant à ses clients d'enregistrer leur podcast (audio seulement).

J'ai un modèle d'affaires très différent en tête.

Pour environ 0.14 $ la minute, tu vas non seulement avoir accès à un studio qui te permet d'enregistrer le son de ton podcast (comme Staples), mais à plusieurs studios vidéo complets avec tout ce qu'il te faut pour produire le contenu de tes rêves!

Je t'entends déjà me dire...

Wtf Oli, tu ne seras jamais profitable! 😱

🤷‍♂️ Ça, c'est mon problème. 😉

J'essaie quelque chose de nouveau. Je n'ai aucune idée si ça va fonctionner ou si le marché est prêt pour ce genre d'innovation.

Dans tous les cas, le studio est là et j'ai déjà commencé à le louer.

Ceci étant dit, contrairement à mes formations, je dois imposer une limite sur le nombre de personnes qui peuvent en profiter.

Clique ici pour avoir tous les détails et vérifier s'il n'est pas trop tard! Si jamais tu as des questions, utilise le formulaire au bas de la page.

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